Engagement cognitif des élèves et oralité

La piège de la passivité des élèves


  1. Pourquoi un apprentissage est-il par définition actif ?
  2. Pourquoi la mise en activité est-elle nécessaire à l'apprentissage ?
  3. Que penser de l’affirmation selon laquelle ce qui compte ce n’est pas tant l’efficacité de l’enseignement dispensé par un enseignant, mais surtout, que les élèves soient actifs ?
  4. Quel est le danger des situations passives en classe selon le modèle des niveaux de traitement ? 
  5. Pourquoi ne pas accepter le décrochage non intentionnel des élèves comme inévitable ?
  6. Quel est le rôle de l'engagement dans l'apprentissage ?
  7. Pourquoi un enseignement magistral (ex cathedra) est-il nécessairement inefficace ?
  8. Comment comprendre le désengagement face à l'enseignement ?



Enjeux liées à l'engagement cognitif des élèves


  1. De quelle manière l'engagement et l’apprentissage des élèves sont-ils au centre de nos démarches ?
  2. Pourquoi parler de complexité de l’engagement des élèves dans un processus de réflexion en classe ?
  3. Pourquoi l'engagement des élèves en classe représente-t-il un challenge pour l'enseignant ?
  4. Pourquoi est-il important d'assurer des opportunités de réflexion en classe ?
  5. Pourquoi faire réfléchir les élèves est un enjeu fondamental pour l'enseignant ?
  6. Comment comprendre la logique du Système 1/Système 2 dans un cadre d'enseignement ?
  7. Comment le plaisir peut-il être vu comme un dérivé moteur d’un enseignement qui privilégie l’apprentissage ?
  8. Pourquoi peut-on dire que les élèves apprennent lorsqu’ils sont pleinement engagés ?



Faciliter l'engagement cognitif des élèves





L'apprentissage actif et ses limites


  1. Quelles sont les limites au concept de classes bourdonnantes par l’engagement actif des élèves?
  2. Pourquoi le facteur d’engagement des élèves en classe est un faible indicateur d'apprentissage ?
  3. Pourquoi peut-on dire que le partage de la parole, un critère observable, mais indirect est peu pertinent pour l’efficacité de l’enseignement ?
  4. Qu'est-ce que la charge cognitive liée à la manipulation ?
  5. Pourquoi ne pas confondre les dimensions du moyen et de la finalité dans la mise en activité des élèves ?
  6. Quels sont les coûts et les limites de la réflexion ?
  7. Pourquoi l’engagement et l’activité des élèves en classe ne signifient pas nécessairement qu’ils sont occupés à apprendre ?
  8. Pourquoi l’engagement dans des activités en classe comme indicateur faible d’apprentissage ?




Mettre en évidence l'engagement cognitif


  1. Pourquoi veiller à ne pas confondre le fait d'être physiquement actif et d'être cognitivement actif 
  2. Pourquoi distinguer l'activité cognitive de l'activité physique ?
  3. Pourquoi bien distinguer les apports de la manipulation et de l'élaboration ?
  4. Quels sont les facteurs observables en classe favorables à l’apprentissage des élèves ?
  5. Pourquoi privilégier l'engagement dans un traitement cognitif signifiant ?
  6. Pourquoi engager les élèves dans un traitement cognitif significatif ?



Assurer un engagement cognitif


  1. Pourquoi peut-on dire que l’enseignement explicite est une pédagogie de l’apprentissage actif ?
  2. Quelle est l'importance d'un engagement cognitif signifiant des élèves en classe ?
  3. Quels sont les enjeux de la structuration du dialogue dans un enseignement explicite ?
  4. Pourquoi privilégier des stratégies de traitement actif et lesquelles ?
  5. Pourquoi parler d'un questionnement dont l’enjeu est de soutenir l’autonomie et la responsabilisation des élèves face aux apprentissages ?
  6. Quel est le rôle de la mémoire à long terme dans la réflexion ?
  7. Quel est le rôle central de la réflexion pour l’apprentissage ?
  8. Pourquoi les activités efficaces sont-elles finalement gérées par les élèves eux-mêmes ?



Éviter la passivité des élèves






Élaboration de questions visant à soutenir l'apprentissage






Importance de l'oralité






Démarche spécifiques de questionnement soutenant l'apprentissage


  1. Pourquoi décomposer les questions liées à des définitions de concepts pour en développer la clarté ?
  2. Pourquoi s’assurer que la cible et la nature de la question précèdent l’indice pour maximiser le traitement et l’apprentissage dans l’élaboration de la réponse ?
  3. Pourquoi veiller à la clarté, à la précision et à la simplicité des questions ?
  4. Quelle est l'utilité des questions d’appariement entre deux séries d’éléments ?
  5. Quelle est l'utilité des questions de catégorisation au sein d’une série d’éléments de connaissance ?
  6. Quand et pourquoi poser des questions qui demandent de retrouver l’ordre logique des étapes d’une séquence ?
  7. Comment construire l’apprentissage de procédures et de réponses structurées par la technique du problème à compléter ?
  8. Comment étayer et soutenir le développement d’un raisonnement à partir d’exemples et de contre-exemples ?



Soutenir l'acquisition du vocabulaire et le développement du langage





L'attention dans un cadre scolaire



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