vendredi 30 octobre 2020

mercredi 28 octobre 2020

Un modèle de la rétroaction pour améliorer l’apprentissage

La rétroaction est une information fournie en retour par un agent. Dans leur modèle de la rétroaction, Hattie et Timperley (2007) ouvrent le rôle de l’agent à l’enseignant, à un pair, à un livre, un parent ou à une expérience. Dans le cadre de cet article, c’est surtout la dimension de l’enseignant qui est spécifiquement prise en compte.

samedi 24 octobre 2020

Une liste de vérification pour la rétroaction

Voici une série de questions fonctionnant sur le principe d’une liste de contrôle, développée au départ de la lecture d’un article de Valerie J. Shute (2008) consacré à la rétroaction formative.

mercredi 21 octobre 2020

samedi 17 octobre 2020

mercredi 14 octobre 2020

Les dimensions d’une rétroaction formative efficace

Les enseignants ne font pas que délivrer des explications et donner des tâches à réaliser, ils sondent également l’apprentissage de leurs élèves par le biais de la vérification de la compréhension ou par des pratiques d’évaluation formative. Mais que font-ils de ces informations recueillies par la suite ? C’est l’objet de la rétroaction formative.

samedi 10 octobre 2020

Avantages d’une utilisation régulière de quiz en classe au service de l’apprentissage des élèves

Lukas K. Sotola et Marcus Crede (2020) sont à l’origine d’une méta-analyse portant sur la recherche consacrée aux quiz. Plus précisément, ils se sont intéressés à l’association entre l’utilisation fréquente de quiz à faibles enjeux dans des classes réelles et les résultats scolaires des élèves concernés.

mercredi 7 octobre 2020

dimanche 4 octobre 2020

Une image peut valoir mille mots

Quelle est l’importance des images mentales et des images physiques pour l’apprentissage ? Plus largement, en quoi les représentations verbales et visuelles se distinguent-elles en matière de traitement cognitif ?

jeudi 1 octobre 2020

Quand l’engagement des élèves en classe soutient l’apprentissage

Une classe peut sembler fonctionner comme une ruche avec des élèves qui collaborent, s’enthousiasment, s’amusent en s’engageant dans les tâches qui leur sont proposées. Lorsque nous observons d’un œil extérieur une telle situation, à coup sûr nous sommes enclins à estimer que ces élèves apprennent et que le temps passé en classe est admirablement utilisé par l’enseignement. 

Mais en est-ce nécessairement le cas ?